Le Wydad rencontre, demain dimanche, à 15h pour le compte de la 6e journée du
championnat national, le KACM au stade El Harti, à Marrakech. Une rencontre qui ne sera, certainement pas une partie de thé. Les Marrakchis comme les Wydad se rencontrent dans un
point ; en ce sens qu’ils trouvent des difficultés à trouver un feedback avec leurs encadreurs. Le Wydad ayant résolu le problème en enrôlant le technicien franco-italien, Diego Grazito alors
que le KACM se cherche un nouveau coach qui ne vient pas encore. La saison
dernière, les deux clubs se sont retrouvés par deux fois : la première à Marrakech et le dernier mot est revenu ( 0-2) aux Casablancais ( quoique le WAC ait perdu deux joueurs lors de
cette rencontre houleuse : Skouma blessé par ce gazon , très mauvaise qualité, et Ajedou pour propos injurieux. Les deux équipes étaient alors menées respectivement par Fethi Jamal et
Badou Zaki. Au match retour, à l’Ensemble sportif Mohammed V de
Casablanca, les deux équipes se sont retrouvées dans des contextes différents. C’est encore le WAC qui l’a remporté par (1-0). Pour le Wydad, qui était à deux pas du sacre, il avait été
abandonné par son coach Badou Zaki qui a rendu le tablier, cédant la place à un enfant du club appelé urgemment par le président Abdelilah El Akram, Fakhreddine Rajhy,
« Lefriekh », pour les intimes. Ce dernier s’acquitta de sa mission … la suite vous la connaissez !La revanche, la conservation du Leadership et l’amélioration du classement seront les enjeux de cette rencontre
très indécise. Comme la saison passé le Wydad est leader avec 11 points, le
KACM est 9eavec 6 points. Le rapport des forces est inégal ; mais rien ne garantit que les Marrakchis en se «réveillent» lors de ce match contre le Wydad. Un sentiment
résumé, une fois, par un mordu des Rouges : «toutes les équipes aiguisent leurs armes contre le WAC ! » Toutefois, ce passionné du Wydad oublie que très souvent, ces
équipes se cassent les armes (et les dents !) sur le roc de Wydad El Oumma !Nous
attendrons demain, le groupe du Wydad qui affiche une excellente forme et un moral d’acier avec un Jefferson, (Marrakchi hier, Casablancais aujourd’hui !) qui n’a rien perdu de son
efficacité. Et ce, pour nous procurer la joie (et la pression !) auxquelles il nous a habitué ces derniers temps !
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